L’ouverture du festival a été faite en mai dernier par les artistes JoBeR et Monsieur Poes qui, inspirés de la mythologie Mésopotamienne, essaiment les fresques qui racontent « L’épopée de Gilgamesh » dans le monde entier.
L’Épopée de Gilgamesh est l’une des premières œuvres littéraires connues, transmise d’abord oralement, puis gravée en écriture cunéiforme sur XII tablettes d’argile il y a 5000 ans. Elle raconte les aventures de Gilgamesh, roi d’Uruk, et de son ami Enkidu, bravant le danger et les Dieux dans une vaine quête d’immortalité.
Le récit explore les thèmes universels de l’amitié, de la mort et de la condition humaine face aux limites de la mortalité. Symboliquement, Gilgamesh représente l’humanité civilisée tandis qu’Enkidu incarne la nature sauvage, leur rencontre marquant l’alliance entre culture et nature. Cette épopée mésopotamienne nous enseigne que la véritable immortalité réside dans les œuvres accomplies et les liens tissés avec autrui, au déla des civilisations et des frontières.
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Ici, dans la tablette XI, Gilgamesh rentre seul à Uruk, transformé par la perte et les épreuves. Il contemple les murailles de la cité, reconnaissant enfin la grandeur humaine non dans l’immortalité, mais dans l’œuvre et la mémoire laissées derrière soi.
Voulez vous savoir comment les élèves se sont impliqués dans ce projet ? C’est par ici…
